13-15, ISBN 978-0-19-922433-3. LES ORIGINES DE LA RELIGION ROMAINE Ο. veille d'un monde régi par le niana: « II serait très éloigné de la vérité de représenter la religion romaine à son stade initial comme un cérémonial sec et ennuyeux en l'honneur de fantômes inconsistants. « Quelques réflexions sur place de la religion dans la société moderne », Fac-réflexion n° 31 – décembre 1995, pp. La religion romaine est une religion sociale, civique, strictement liée à une communauté. Et la religion romaine accepte la pluralité des approches tant qu’on ne lui impose pas la transcendance. Il est toutefois important de préciser que dans la Rome antique, la culture religieuse est partagée par tous. Ainsi, les devoirs religieux sont conditionnés par le statut social des personnes et non par une décision personnelle d'ordre spirituel. La Matrone et la Courtisane Les Vestales La Matrone La Courtisane (prostitué) Vesta et les Vestales La loi Oppia La loi Oppia La loi Oppia, dénonçant le luxe et l'extravagance des femmes Lex Oppia 215 av. ^ (FR) Trevor Mann, Comment jouets Commencé en Actes de la Société royale de médecine, Royal Society of Medicine Press, 1975, pp. C'est un lieu commun de dire que nous vivons dans un monde sécularisé , et nombreux sont ceux qui s'intéressent à la place (de plus en plus réduite) occupée par la religion dans la société moderne. ^ (FR) John A. Dans cet essai, John Scheid restitue à la religion romaine sa teneur immanente et physique. La tendance étant plutôt à revaloriser la place de la femme romaine dans la religion tout en rejetant la notion d’incapacité sacrificielle6. À l’origine clanique (gentilice [1]), l’organisation sociale donnait tout pouvoir au père vivant (pater familias) sur l’ensemble de sa descendance, patrimoine compris.. Les filles pouvaient quitter cette autorité par le mariage, mais pour passer aussitôt sous une autre autorité masculine. En 186, les cérémonies secrètes du culte de Bacchus faisaient déjà de tels ravages dans la société romaine, que le Sénat romain crut devoir sévir et promulgua le fameux sénatus-consulte De Bacchanalibus. À Rome, l’État ne se mêle pas de la vie religieuse privée des citoyens, même si les dieux font partie de la communauté et vivent parmi eux. 39-42. Récupéré 12 Avril, 2010. La société romaine était une société patriarcale et patrilinéaire stricte. Réflexions à partir de Danièle Hervieu-Léger, La Religion pour Mémoire (Paris : Editions du Cerf, 1993). Rien ne se fait dans le monde romain sans y mêler du religieux. Récupéré 12 Avril, 2010. Les colloques aussi se succèdent sur des thèmes proches7 et produisent eux aussi des répétitions ou des contradictions qu’il serait vain de répertorier systématiquement. North, religion romaine, Cambridge University Press, 2000, pp. La vie quotidienne, la vie publique, la guerre, les mariages, la santé, la mort, la fondation d'une ville ou bien un voyage : tout est accompagné de rites bien précis destinés à favoriser les actions ou les projets en cours ou bien à passer au … La civilisation romaine accorde une place de premier plan à la religion. J-C Fin de la seconde guerre Punique "Une femme ne peut avoir plus d'une Au contraire, nous entrons dans un pays électro dynamique d'enchantement ». 4047 de la revue La pagination présente ne correspond pas à celle de la revue QUELQUES REFLEXIONS SUR LA PLACE DE LA RELIGION DANS LA SOCIETE MODERNE Neal BLOUGH Des sociologues nous viennent aujourd'hui certaines des analyses les plus fascinantes de … Contrairement à l’affirmation de Marcel Mauss (La prière [1909], dans Œuvres, vol.